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IOZEFISM SI MENTALITATE TARANEASCA

Autor: Mihai DORIN

Editura:  Cugetarea

Cod ISSN: 1221-4876, pp. 50-62

Résumé:

La révolte paysanne de 1784 de Transylvanie s’encadre dans une période de changement des signes du temps, où la multitude des offres et des influences provoque une situation de crise par rapport à la temporalité intérieure de la société roumaine traditionnelle „éliminée de l’histoire” comme effet de l’action solidaire des états privilégies, dès le XV-ème siécle. De son désir d’élargir et de consoloder la légitimité politique en Transylvanie, l’Empire Habsbourgique a offert aux Roumains, dès le début à l’intermédiare de l’uniatisme, une alternative où les parties cont investir tout le cours du XVII- ème siécle. Le Réformisme joséphiniste a approfondi et a multiplié l’offre alternative, qui va permettre au Roumains de conscientiser le degré différen de chargement venant d’une part, du pouvoir nobiliaire, d’autre part du pouvoir de l’Etat. Avec cette balance psyhologique, la société paysanne (roumaine) a acquis un nouvel instrument de mesure. Plus exactement, l’Etat impérial s’entrouvre au monde paysan, lui offrant une solution alternative qui lui permette le retour à l’histoire. L’Etat avait affirmé sa vocation de réformer la société à base de la nationalité moderne. Le nouveau modèle joséphiniste de raisonner l’histoire reclamait rendre conscient le monde paysan, dans le but d’édifier un comformément à sa propre sensibilité, comprenant à l’écater le pouvoir intermédiaire, de la noblesse hongroise, devenue caduque, pour communiquer directement avec l’empereur. Les valeurs de la durée longue entrent en crise, s’estompent. C’est un moment de crise de la conscience paysanne.

Ayant un contenu profondément paysan, par ses causes et ses formes de manifestation, sans mélanges étrangers significatifs, la révolte de 1784 est l’expression de l’interférence entre le mentalité paysanne et l’idéologie du réformisme joséphiniste. L’idéologie oficielle a cultivé la sympathie paysanne envers l’empereur protecteur, la classe paysanne le sublimant en mythe. Pendant ses visites en Transylvanie, l’empereur a été envahi par les plaintes des paysans roumains. Les quatre délégations paysannes envoyées à Vienne, comme il en résulte de l’interrogatoire de Cloşca en 1785, renforce l’idée de la croyance dans „le bon empereur”. Sans rester totalement isolé des progrès de la civilisation, ayant des stratifications au palier culturel et celui de conscience, qui a permis l’apparition d’une „élite demi-civilisée”, le monde paysan prouve un processus d’adaptation au niveau des réformes.

La Révolte paysanne de 1784 représente un essai de ranger les affaires de la société au cadre de vie naturelle du village. L’empereur garantit l’œuvre de réordonner la réalité. Ainsi, sont-ils apparus les germes d’une nouvelle mentalité, ayant comme support intention transhistorique, qui suit le dépassement par révolte de l’histoire (c’est- à-dire l’ancien „contrat social” devenue caduque) pour ranger le bon ordre de la vie dans sa forme naturelle. D’ici la vision sociale naïve-égalitaire affirmé pendant la révolte. Le monde paysan n’a pas d’histoire chronologique, ses notions de temporalité sont fondées en mythe, son temps étant mesuré en grands cycles, conturés imprécisément, fait qui lui assure la possibilitté de „boycotter l’histoire”.